Excellent, Marc ! Tu décris bien ce type de profil "au taquet" qui n'a souvent pas besoin de coach, jusqu'au jour où la frustration devient trop grande face à une équipe qui ne répond pas comme une voiture de course et que le dirigeant/manager se trouve freiné dans sa course folle, à perdre quelques dixièmes de seconde à chaque tournant... Comment les accompagner à trouver de nouveaux moyens de piloter leur activité pour plus d'efficacité (puisque c'est ce qui les intéresse) ? D'abord les suivre dans leur logique, dans leur énergie, accueillir, et progressivement introduire quelques doutes dans la forteresse de certitudes, laisser le champion se positionner et cheminer...
Merci pour les inspirations que proposent tes billets !
Merci chère Karine ! Le travail de coach a ceci de passionnant qu'il nous met au contact de personnalités étonnantes, de ce que Balzac appelait la comédie humaine, et La Bruyère, des "caractères". Ici, comme tu le dis, c'est le manager "au taquet" 😉
Excellent, Marc ! Tu décris bien ce type de profil "au taquet" qui n'a souvent pas besoin de coach, jusqu'au jour où la frustration devient trop grande face à une équipe qui ne répond pas comme une voiture de course et que le dirigeant/manager se trouve freiné dans sa course folle, à perdre quelques dixièmes de seconde à chaque tournant... Comment les accompagner à trouver de nouveaux moyens de piloter leur activité pour plus d'efficacité (puisque c'est ce qui les intéresse) ? D'abord les suivre dans leur logique, dans leur énergie, accueillir, et progressivement introduire quelques doutes dans la forteresse de certitudes, laisser le champion se positionner et cheminer...
Merci pour les inspirations que proposent tes billets !
Merci chère Karine ! Le travail de coach a ceci de passionnant qu'il nous met au contact de personnalités étonnantes, de ce que Balzac appelait la comédie humaine, et La Bruyère, des "caractères". Ici, comme tu le dis, c'est le manager "au taquet" 😉