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Je tombe sur cette citation dans Philosophie Magazine, qui me semble à propos ici :

“Les larmes, écrit le philosophe Jean-Louis Chrétien, restent l’un des lieux les plus communs d’exercice de notre humanité, elles montrent que nous avons su nous laisser atteindre, toucher par un événement, par une personne, par un Autre” (Promesses furtives, 2004).

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Merci pour cette rubrique lacrymale ;-) !

Eh oui, sous le masque de la « persona » en société se cachent nos émotions. Tout du moins, on nous intime de les cacher. Garder tête froide, montrer une poker face, c’est synonyme de constance en toutes circonstances (désolé, c’est lourd!).

Mais comme spectateur, devoir se questionner, mmmh, c’est souvent peu agréable. «  Ai-je provoqué cette effusion? Suis-je incriminé? ».

J’ai l’impression que ces larmes dérangent non pas tant sur ce qu’elle disent ou laissent à penser de l’émotif, que sur celui qui assiste à cette ouverture des vannes.

Qu’en pensez-vous? J’Opte pour partage de la responsabilité du traitement de cette information, puisqu’il s’agit de communication non verbale dans toute sa complexité. Ca serait une piste de réflexion: qui pour accueillir cette expression? Comment en prendre (bien) soin?

Et pour les larmes de joie, c’est grave docteur :-) ?

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