Je tombe par hasard sur ces phrases tranchantes de Georges Bernanos, d’une exigeante liberté :
Je crois toujours qu’on ne saurait réellement “servir” – au sens traditionnel de ce mot magnifique – qu’en gardant vis-à-vis de ce qu’on sert une indépendance de jugement absolue. C’est la règle des fidélités sans conformisme, c’est-à-dire des fidélités vivantes.
Que servons-nous (plutôt que “qui”) par notre activité, par notre travail, par nos gestes quotidiens ? Quels principes, quelle vision du monde, quelle éthique ? À quoi, en réalité, sommes-nous “fidèles” ?
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Sur la fidélité
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Je tombe par hasard sur ces phrases tranchantes de Georges Bernanos, d’une exigeante liberté :
Que servons-nous (plutôt que “qui”) par notre activité, par notre travail, par nos gestes quotidiens ? Quels principes, quelle vision du monde, quelle éthique ? À quoi, en réalité, sommes-nous “fidèles” ?